Le masque de mistral

Dans une vallée reculée du Guatemala, où les vents serpentent entre les ruines mayas et les arbres divins, un sculpteur anonyme taillait l’obsidienne avec la patience de quelques anciens. Sa matière venait d’un ancestral gisement, abîmer et lisse, reconnue pour ses propriétés vibratoires. Il ne sculptait pas pour la santé, mais pour suivre une rencontre. Lorsqu’il termina les apparences, il ne se rendit compte pas immédiate qu’il avait écrite un canal. Le masque ne représentait ni divinité ni animal domestique : il était normalement vide, une ajour façonnée pour que le vent y entre et traite. Une féminitude du nom d’Alondra, venue de le lieu pour enquêter sur les rites séculaires, découvrit l'obscur presque par fatum. Dès qu’elle le plaça sur son portrait, les brises se modifièrent. Ce n’était plus de trop l’air. C’étaient de quelques signaux fragmentés, de quelques murmures dextres, de certaines citations complètes, de temps en temps déformées, extrêmement précises. Le masque canalisa de certaines messagers qui ne semblaient évacuer d’aucune voix humaine présente. En quelques jours, elle se rendit compte qu’elle percevait de certaines fragments d’avenir soufflés par de quelques courants inconnus. Chaque conscience devenait une prédiction. Elle décida de ne rien nicher. Elle créa assez un rivalité discret, une ligne destinée à la voyance par sms. Ceux qui cherchaient à interpréter les fréquents incorporels grâce à leur avenir pouvaient diffuser un message, et Alondra leur répondait, librement, par un proverbe, une phrase, de temps à autre un chiffre. Chaque réponse provenait d’une écoute bienveillante, les voiles d’obsidienne sur le facies, le vent explorant la joyau et effectuant ces échos de la destinee. La voyance sms fonctionnait donc : pas d’explication, uniquement la critique de certaines brises. Très rapidement, son rivalité se propagea. Les nations, fascinés par l’étrangeté et la précision de certaines réponses, partageaient leurs connaissances. La voyance par sms d’Alondra était différente : elle ne semblait pas partir d’un calcul ou d’une interprétation de l'homme, mais d’une source élémentaire, en harmonie avec ses besoins, vieille. Le masque, au contact de quelques températures, modifiait légèrement ses sons. Plus les vents changeaient, plus indices évoluaient. Alondra notait tout, dans de quelques carnets muets. Elle ne comprenait pas généreusement ce qu’elle écrivait. Mais les justifications qu’elle envoyait par la voyance sms semblaient anticiper de quelques choix, de certaines buts, de quelques ruptures. Et les masques, perdre comme par exemple la nuit, vibrait au moindre souffle, en tant qu' un divinations dissimulé dans la diamant.

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